Depuis quelques semaines, dès que je sors en campagne, « j’espinche », pas vous ? …
Elles sont tellement incroyables ces belles asperges sauvages qui grimpent sur les talus, dans les ronces et même dans les arbres, si si je vous assure, c’est leur côté coquin….
J’appelle ce genre de cueillette, les « petits profits de la garrigue ». Et cette cueillette-là a quelque chose de particulièrement réjouissant, un réel plus par rapport aux autres : elle annonce l’arrivée du printemps ! Enfin on y est….Et puis, nous voilà prédisposés à la découverte des étals entiers d’asperges vertes sur nos marchés, la reine du printemps !
Pour moi, c’est fait. Samedi dernier, le petit producteur de mon village a ouvert ses portes : toutes fraîches cueillies du matin, notre bon kilo d’asperges a rejoint illico notre cuisine. Je les ai faites belles pour accompagner un beau gigot d’agneau du Larzac.
Un conseil d’amie, surtout ne pas trop les cuire, il faut qu’elles restent croquantes….
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